Henri Bonneau "Marie Beurrier" Châteauneuf-du-Pape 2017

Châteauneuf-du-Pape - Bonneau Henri
  • 150 cl - Magnum
Henri Bonneau "Marie Beurrier" Châteauneuf-du-Pape 2017
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Henri Bonneau "Marie Beurrier" Châteauneuf-du-Pape 2017

Châteauneuf-du-Pape - Bonneau Henri
270,00 € TTC

270€ HT

La cuvée Marie Beurrier (qui porte le nom d'une tante de l'épouse d'Henri Bonneau) est relativement plus accessible que la Réserve des Célestins. Moins intense mais plus complexe, ce vin grandiose dégage des arômes envoûtants de fruits noirs et d'épices.

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La cuvée Marie Beurrier (qui porte le nom d'une tante de l'épouse d'Henri Bonneau) est relativement plus accessible que la Réserve des Célestins. Moins intense mais plus complexe, ce vin grandiose dégage des arômes envoûtants de fruits noirs et d'épices.

Millésime :
2017
Format :
150 cl - Magnum
Couleur :
Rouge
Conditionnement :
Unitaire
Pays :
France
Région :
Rhône
Appellation :
Châteauneuf-du-Pape
Stock 3 en stock
Quantité
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Millésime :
2017
Format :
150 cl - Magnum
Couleur :
Rouge
Conditionnement :
Unitaire
Région :
Rhône
Appellation :
Châteauneuf-du-Pape
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Le domaine

Le vigneron Henri Bonneau incarnait, peut-être malgré lui, l’appellation Châteauneuf-du-Pape toute entière, aux côtés du Château Rayas. Il était issu d’une famille de vignerons implantée dans la région depuis 1667. Né en 1938 et décédé en 2016, il représentait la douzième génération. Il se forme auprès de ses parents dès 1961 au domaine familial.

D’un tempérament paysan, silencieux, la renommée de ses vins tranchait avec son caractère. Il répétait à l’envie « le secret (de mes vins), c’est qu’il n’y en a pas ! ». Il cultivait seulement six hectares de vignes avec des rendements modestes, de grenache (85%), de mourvèdre, de counoise et de vaccarèse.

Il élevait longtemps ses vins, de quatre à huit ou dix ans, puis avait l’habitude d’arbitrer après dégustations, qu’il effectuait à la même date, au même endroit et à la même heure. Son fils Marcel Bonneau, né en 1973, lui succède et continue à produire du vin au Domaine Henri Bonneau.